Mogwai, Sacred Paws, Twirrl - L'aéronef

L'Aéronef et Alias Production présentent : Mogwai + SACRED PAWS + after-live de Twirrl

Date soutenue par Liveurope (la première initiative pan-européenne pour soutenir les salles de concerts en matière de promotion d’artistes émergents)

Mogwai est un groupe de musique écossais formé en 1995 à
Glasgow et qui est devenu un des groupes les plus influents et les plus exposés de la scène post-rock, et ce dès leur très remarqué premier album Young Team en 1997. En grande majorité instrumentales, leurs chansons sont basées le plus souvent sur une ligne de basse ou de guitare, à laquelle sont apportées au fur et à mesure des variations du thème et autres couches sonores en tout genre.

Toujours sur le fil, ces compositions oscillent entre ambiances atmosphériques et violence sonique (leurs concerts se finissent en général dans un chaos complet, sous une pluie de larsen).

Leur nom provient des créatures du film Gremlins. Stuart Brainwaithe à ce sujet, dira qu' « il n'a pas de sens particulier, et nous avons toujours eu l'intention d'en trouver un meilleur, mais comme beaucoup d'autres choses, nous ne l'avons jamais fait ».

en première partie : Sacred Paws
La force de ce duo, entre indie-pop et post-punk, réside dans son écartèlement entre Londres et Glasgow. Sacred Paws naquit en 2014 sur les braises encore chaudes du groupe Golden Grrrls. Rachel Aggs, alors guitariste et chanteuse du groupe, ne pouvant se résigner à ne plus fréquenter musicalement sa batteuse Eilidh Rodgers. C'est donc tiraillées entre l'Angleterre et l'Écosse que les deux musiciennes composent des morceaux aux mélodies ensoleillées et au groove imparable. Une complicité excentrique qui transpire en live tout comme dans leur premier album Strike A Match.

en after-live dès la fin du set de Mogwai : Twirrl
Nouvelle recrue du label lillois Play It Loudly, Twirrl produit une pop lo fi douce et plaisante, à l'univers teinté de dérision dans la droite lignée d'un certain Mac DeMarco. Quelques minutes de discussion avec ce multi-instrumentiste gaucher (c'est important de le souligner) suffisent pour comprendre qu’il a un pied dans le futur et l’autre dans le passé. Non pas qu'il roule en DeLorean, mais plutôt qu'il affectionne le matériel old school tout en étant pointu lorsqu'il s'agit de dialoguer avec un ordinateur ou un logiciel de son, tel Supercollider. Sur son 1er EP Erase + Rewind (mai 2017), Twirrl chante en anglais l’histoire d’une période qu’il n’a pas connue, celle des lettres parfumées et des cabines téléphoniques. Sur scène, il défend les couleurs psychédéliques de sa pop en solo accompagné d’un lecteur K7 et de ses synthés programmés.