Walter Brückmann se propose de décarcasser le rock. Pas de démarche taxidermiste mais bien une mise à plat, ou plutôt en perspective de cette vieille carne de binaire. On se situe donc après le rock, dans un « post-restant » parti sans laisser d'adresse. Un trio libre, voyageant léger avec une foule d'itinéraires en tête. Balade sauvage pour ballade urbaine. (Bertrand Lanciaux)
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